03 JUIN 2017

Cinéma - Marcel Martin, 1967, n°117: Trains étroitement surveillés

" … merveilleux film (…) la rupture de ton entre la truculence du début et le drame final disparait si l'on admet que ce film, sous les dehors d'une comédie, est un drame, le drame d'un adolescent qui veut devenir un homme (…) Jusqu'au dernier quart d'heure, Menzel s'en donne à coeur joie et nous fait rire à gorge déployée d'un rire qui n'est jamais vulgaire, car même en utilisant les ressources de la traditionnelle truculence tchèque, il sait toujours s'arrêter à temps et se borne le plus souvent à des détails à la fois pleins de drôlerie et de finesse (…) un petit chef-d”oeuvre..."

" … merveilleux film (…) la rupture de ton entre la truculence du début et le drame final disparait si l'on admet que ce film, sous les dehors d'une comédie, est un drame, le drame d'un adolescent qui veut devenir un homme (…) Jusqu'au dernier quart d'heure, Menzel s'en donne à coeur joie et nous fait rire à gorge déployée d'un rire qui n'est jamais vulgaire, car même en utilisant les ressources de la traditionnelle truculence tchèque, il sait toujours s'arrêter à temps et se borne le plus souvent à des détails à la fois pleins de drôlerie et de finesse (…) un petit chef-d”oeuvre..."