03 JUIN 2017

Le Figaro - Claude Baignères: Les Quatre saisons d'Espigoule

" Il ne s'agit pas tout à fait d'un reportage, pas tout à fait d'une fiction; ça ressemble plutôt à la manière dont Paul Auster épiait dans Smoke ou Brooklyn Boogie le train-train vivifiant d'un bistrot new-yorkais, parfois installant une situation pour la laisser se développer au gré de l'inspiration des gens du cru.Ainsi Philibert va-t-il au plus sensible, au plus profond, au plus authentique, au plus modeur du génie méridional à l'état pur. Au plus poétique aussi. Virgile n'est jamais bien loin.Alors que se passe-t-il ? Tout et rien (...) Avec les sept cent trente deux habitants d'Espigoule, on passe ainsi une heure trente-sept d'enchantement."

" Il ne s'agit pas tout à fait d'un reportage, pas tout à fait d'une fiction; ça ressemble plutôt à la manière dont Paul Auster épiait dans Smoke ou Brooklyn Boogie le train-train vivifiant d'un bistrot new-yorkais, parfois installant une situation pour la laisser se développer au gré de l'inspiration des gens du cru.
Ainsi Philibert va-t-il au plus sensible, au plus profond, au plus authentique, au plus modeur du génie méridional à l'état pur. Au plus poétique aussi. Virgile n'est jamais bien loin.
Alors que se passe-t-il ? Tout et rien (...) Avec les sept cent trente deux habitants d'Espigoule, on passe ainsi une heure trente-sept d'enchantement."