03 JUIN 2017

Le Figaro - Claude Baignères: Méfie-toi de l'eau qui dort

"Le plus captivant dans ce premier film de Jacques Deschamps n'est pas l'histoire qu'il raconte mais l'émotion, la chaleur, la poésie qui s'en dégagent. Surtout, la complicité qui s'établit entre les sentiments humains et ceux qui paraissent émaner de la nature. C'est là une attitude rimbaldienne qui suggère en l'occurrence un enchantement calme, avec des échos parfois tendres, parfois dramatiques, toujours indulgente. Une idée dont les images sont la source et que la musique comme le dialogue accompagnent à sons feutrés. "

"Le plus captivant dans ce premier film de Jacques Deschamps n'est pas l'histoire qu'il raconte mais l'émotion, la chaleur, la poésie qui s'en dégagent. Surtout, la complicité qui s'établit entre les sentiments humains et ceux qui paraissent émaner de la nature. C'est là une attitude rimbaldienne qui suggère en l'occurrence un enchantement calme, avec des échos parfois tendres, parfois dramatiques, toujours indulgente. Une idée dont les images sont la source et que la musique comme le dialogue accompagnent à sons feutrés. "