07 JUIN 2017

Le Figaro Magazine - Eric Neuhoff: Anna M.

" Le film, oppressant, serré comme un poing, repose presque entièrement sur les épaules d'Isabelle Carré. Elle flanque la trouille. Elle est tour à tour désarmante et à gifler, d'une gentillesse qui donne envie de l'étrangler. Elle est extraordinaire, au sens propre. A la fois monstrueuse et pathétique. Son visage change d'une séquence à l'autre : ce regard qu'elle a soudain... (...) Ce récit d'une obsession emballe, glace les sangs, vous abandonne sonné dans votre fauteuil, une fois les lumières rallumées."

" Le film, oppressant, serré comme un poing, repose presque entièrement sur les épaules d'Isabelle Carré. Elle flanque la trouille. Elle est tour à tour désarmante et à gifler, d'une gentillesse qui donne envie de l'étrangler. Elle est extraordinaire, au sens propre.
A la fois monstrueuse et pathétique. Son visage change d'une séquence à l'autre : ce regard qu'elle a soudain... (...) Ce récit d'une obsession emballe, glace les sangs, vous abandonne sonné dans votre fauteuil, une fois les lumières rallumées."