03 JUIN 2017

Le Nouvel Observateur - Lucie Calet: Angèle et Tony

"Avec Angèle et Tony, Alix Delaporte signe un très joli premier long-métrage, silencieux et ténu, qui traite de la confiance et d’une réinsertion sentimentale. Elle l’ancre autour d’une crise sociale, de l’absence des pères (celui d’Angèle n’existe pas, son fils n’en a plus, celui de Tony a disparu en mer), et gagne son pari, à l’aide de deux comédiens terriblement justes saisis dans des lumières d’hiver."

"Avec Angèle et Tony, Alix Delaporte signe un très joli premier long-métrage, silencieux et ténu, qui traite de la confiance et d’une réinsertion sentimentale. Elle l’ancre autour d’une crise sociale, de l’absence des pères (celui d’Angèle n’existe pas, son fils n’en a plus, celui de Tony a disparu en mer), et gagne son pari, à l’aide de deux comédiens terriblement justes saisis dans des lumières d’hiver."