03 JUIN 2017

Le Nouvel Observateur - Marie-Elisabeth Rouchy: Gare du Nord

" Multitude colorée qui porte, sous la grande verrière du bâtiment, les débats de la République et ses blessures ouvertes au rythme des sons qui se chevauchent et des vibrations des trains qui grondent sous les voies. De cette représentation miniature de la société, où le surnaturel surgit parfois de la manière la plus inopinée et où la foule sert de révélateur à l’individu, la réalisatrice tire un bouleversant et douloureux hymne à la vie en marche. "

" Multitude colorée qui porte, sous la grande verrière du bâtiment, les débats de la République et ses blessures ouvertes au rythme des sons qui se chevauchent et des vibrations des trains qui grondent sous les voies. De cette représentation miniature de la société, où le surnaturel surgit parfois de la manière la plus inopinée et où la foule sert de révélateur à l’individu, la réalisatrice tire un bouleversant et douloureux hymne à la vie en marche. "