03 JUIN 2017

Libération - Isabelle Potel: Max mon amour

" (...) au-delà de la fable burlesque, le film fonctionne comme une approche concentrique d'un empêchement qui est sa raison d'être : impossible de filmer la relation sexuelle entre le singe et sa maîtresse (c'est là que le cinéma devient passionnant, quand il bute sur les limites physiques de son sujet, irreprésentable de façon crédible). Ainsi, tous les personnages se rendent malades d'un voyeurisme qu'ils ne pourront assouvir, le spectateur non plus, la femme et le singe conservant leur secret."

" (...) au-delà de la fable burlesque, le film fonctionne comme une approche concentrique d'un empêchement qui est sa raison d'être : impossible de filmer la relation sexuelle entre le singe et sa maîtresse (c'est là que le cinéma devient passionnant, quand il bute sur les limites physiques de son sujet, irreprésentable de façon crédible). Ainsi, tous les personnages se rendent malades d'un voyeurisme qu'ils ne pourront assouvir, le spectateur non plus, la femme et le singe conservant leur secret."