03 JUIN 2017

Studio Magazine - Catherine Wimphen: Beau fixe

" Tout de suite, on rit. Par cette fantastique mécanique comique qu'est le jeu de miroirs. On se voit (en tout cas nous, les filles), on voit ses copines. Et on réagit à ces quatre caractères comme s'ils nous étaient proches, tantôt avec irritation, tantôt avec complicité. D'autant que les comédiennes sont d'une vérité confondante et qu'on a ainsi le sentiment de les connaître vraiment très bien. (...) Et c'est ainsi que Christian Vincent, par un biais différent, nous amène à ce qui le préoccupe et qui était le sujet de son premier film La Discrète ; le discours amoureux. Avec ce regard particulier sur les femmes (...) C'est du cinéma généreux, où chacun trouve son compte de plaisir, le réalisateur, ses interprètes et, surtout, le spectateur auquel il offre, et avec le sourire, un petit moment de bonheur simple. Pas de violence, pas de prise de tête, pas d'esbroufe. Beau fixe, c'est une petite musique joyeuse au milieu du vacarme."

" Tout de suite, on rit. Par cette fantastique mécanique comique qu'est le jeu de miroirs. On se voit (en tout cas nous, les filles), on voit ses copines. Et on réagit à ces quatre caractères comme s'ils nous étaient proches, tantôt avec irritation, tantôt avec complicité. D'autant que les comédiennes sont d'une vérité confondante et qu'on a ainsi le sentiment de les connaître vraiment très bien.

(...) Et c'est ainsi que Christian Vincent, par un biais différent, nous amène à ce qui le préoccupe et qui était le sujet de son premier film La Discrète ; le discours amoureux. Avec ce regard particulier sur les femmes (...) C'est du cinéma généreux, où chacun trouve son compte de plaisir, le réalisateur, ses interprètes et, surtout, le spectateur auquel il offre, et avec le sourire, un petit moment de bonheur simple. Pas de violence, pas de prise de tête, pas d'esbroufe. Beau fixe, c'est une petite musique joyeuse au milieu du vacarme."