03 JUIN 2017

Télérama - Jacques Morice: Tout est pardonné

" Une sensation de clarté domine, étrangère à tout pathos (...) C’est dans un calme singulier que les sentiments sont mis à nu. Un calme intemporel – même l’image du shoot d’héroïne dans le bras de Victor échappe à la dramatisation. Un cycle est à l’œuvre, quatre chapitres associés à quatre saisons. Le déclin de l’automne et le gel de l’hiver pour le père ; l’espérance du printemps et la pleine maturité de l’été pour Pamela. Des jardins viennois à la campagne de Corrèze, on se promène beaucoup, à plusieurs souvent, dans Tout est pardonné. La promenade est toujours sinueuse et c’est Victor qui est devant. Lorsqu’il vient à manquer, sa fille se doit de tracer son chemin toute seule. Chemin escarpé mais verdoyant, prometteur de vie."

" Une sensation de clarté domine, étrangère à tout pathos (...) C’est dans un calme singulier que les sentiments sont mis à nu. Un calme intemporel – même l’image du shoot d’héroïne dans le bras de Victor échappe à la dramatisation. Un cycle est à l’œuvre, quatre chapitres associés à quatre saisons. Le déclin de l’automne et le gel de l’hiver pour le père ; l’espérance du printemps et la pleine maturité de l’été pour Pamela. Des jardins viennois à la campagne de Corrèze, on se promène beaucoup, à plusieurs souvent, dans Tout est pardonné. La promenade est toujours sinueuse et c’est Victor qui est devant. Lorsqu’il vient à manquer, sa fille se doit de tracer son chemin toute seule. Chemin escarpé mais verdoyant, prometteur de vie."