03 JUIN 2017

Télérama - Jérémie Couston: Tristesse Club

" En quelques scènes, Vincent Mariette plante dans son premier long métrage la même ambiance drôle et mélancolique que dans ses courts (Double Mixte, Les Lézards). Pas très éloigné de Wes Anderson, son road movie avance au rythme de la Porsche rouge de Léon et des souvenirs d'enfance ou des secrets de famille qui surgissent du passé. Car Tristesse Club est un film de reconstruction. Chaque membre du trio traverse une crise intime qu'il n'ose pas s'avouer. Mais, à mesure que les liens, entre eux, se (re)tissent, le film gagne en douceur ce qu'il perd en ironie. Laurent Lafitte, en ex-champion de tennis hétéro beauf, et Vincent Macaigne, dans son traditionnel rôle d'amoureux mal dans ses baskets, confirment qu'ils excellent toujours dans le registre doux-amer."

" En quelques scènes, Vincent Mariette plante dans son premier long métrage la même ambiance drôle et mélancolique que dans ses courts (Double Mixte, Les Lézards). Pas très éloigné de Wes Anderson, son road movie avance au rythme de la Porsche rouge de Léon et des souvenirs d'enfance ou des secrets de famille qui surgissent du passé. Car Tristesse Club est un film de reconstruction. Chaque membre du trio traverse une crise intime qu'il n'ose pas s'avouer. Mais, à mesure que les liens, entre eux, se (re)tissent, le film gagne en douceur ce qu'il perd en ironie. Laurent Lafitte, en ex-champion de tennis hétéro beauf, et Vincent Macaigne, dans son traditionnel rôle d'amoureux mal dans ses baskets, confirment qu'ils excellent toujours dans le registre doux-amer."