03 JUIN 2017

Télérama - Juliette Bénabent: Versailles

"A des kilomètres de la comédie française aux personnages typés et aux dialogues ping-pong, voici un premier film déroutant. Un film silencieux - répliques minimalistes, musique quasi absente. Un film sombre, au sens figuré, puisqu'il raconte l'histoire d'un enfant et d'un sans-abri, et sombre aussi au sens propre : beaucoup de scènes sont tournées de nuit ou au petit matin, dans le clair-obscur. Un film pourtant plein de vie et d'amour, sinon d'espérance.(...) De Guillaume Depardieu émane une force impressionnante, une puissance physique et un feu intérieur qui illuminent toute l'histoire. Ses yeux brûlent, son corps et sa voix vibrent, c'est lui qui nous embarque dans cette forêt."

"A des kilomètres de la comédie française aux personnages typés et aux dialogues ping-pong, voici un premier film déroutant. Un film silencieux - répliques minimalistes, musique quasi absente. Un film sombre, au sens figuré, puisqu'il raconte l'histoire d'un enfant et d'un sans-abri, et sombre aussi au sens propre : beaucoup de scènes sont tournées de nuit ou au petit matin, dans le clair-obscur. Un film pourtant plein de vie et d'amour, sinon d'espérance.
(...) De Guillaume Depardieu émane une force impressionnante, une puissance physique et un feu intérieur qui illuminent toute l'histoire. Ses yeux brûlent, son corps et sa voix vibrent, c'est lui qui nous embarque dans cette forêt."