Télérama - Juliette Bénabent: Versailles
"A des kilomètres de la comédie française aux personnages typés et aux dialogues ping-pong, voici un premier film déroutant. Un film silencieux - répliques minimalistes, musique quasi absente. Un film sombre, au sens figuré, puisqu'il raconte l'histoire d'un enfant et d'un sans-abri, et sombre aussi au sens propre : beaucoup de scènes sont tournées de nuit ou au petit matin, dans le clair-obscur. Un film pourtant plein de vie et d'amour, sinon d'espérance.(...) De Guillaume Depardieu émane une force impressionnante, une puissance physique et un feu intérieur qui illuminent toute l'histoire. Ses yeux brûlent, son corps et sa voix vibrent, c'est lui qui nous embarque dans cette forêt."
"A des kilomètres de la comédie française aux personnages typés et aux
dialogues ping-pong, voici un premier film déroutant. Un film
silencieux - répliques minimalistes, musique quasi absente. Un film
sombre, au sens figuré, puisqu'il raconte l'histoire d'un enfant et
d'un sans-abri, et sombre aussi au sens propre : beaucoup de scènes
sont tournées de nuit ou au petit matin, dans le clair-obscur. Un film
pourtant plein de vie et d'amour, sinon d'espérance.
(...) De Guillaume Depardieu émane une force impressionnante, une puissance
physique et un feu intérieur qui illuminent toute l'histoire. Ses yeux
brûlent, son corps et sa voix vibrent, c'est lui qui nous embarque dans
cette forêt."