03 JUIN 2017

Télérama - Marie-Elisabeth Rouchy, 19/01/1994: Bonsoir

" Jean-Pierre Mocky retrouve l’inspiration de ses premiers films et son interprète favori Michel Serrault. Dans la veine d’Un drôle de paroissien, Bonsoir a la cocasserie d’une comédie, la poésie parfois tendre d’une chronique de fin de siècle et le rythme d’un polar. Oh, bien sûr, la mise en scène n’est pas toujours léchée, les numéros d’acteurs sont inégaux. Mais il suffit que Serrault apparaisse —ou Marie-Christine Barrault, hilarante en mère célibataire— pour que l’on s’intéresse de nouveau aux mésaventures de ce chômeur très chic et très british. "

" Jean-Pierre Mocky retrouve l’inspiration de ses premiers films et son interprète favori Michel Serrault. Dans la veine d’Un drôle de paroissien, Bonsoir a la cocasserie d’une comédie, la poésie parfois tendre d’une chronique de fin de siècle et le rythme d’un polar. Oh, bien sûr, la mise en scène n’est pas toujours léchée, les numéros d’acteurs sont inégaux. Mais il suffit que Serrault apparaisse  —ou Marie-Christine Barrault, hilarante en mère célibataire— pour que l’on s’intéresse de nouveau aux mésaventures de ce chômeur très chic et très british. "