03 JUIN 2017

Télérama - Marie-Elisabeth Rouchy: Un divan à New York

"... et l'arrangement immobilier va tourner au coup de foudre à distance. Un dessous féminin qui traîne chez l'une, un appartement trop rangé pour un entourage bien dérangé chez l'autre : autant d'indices attendrissants pour une passion naissante (...) Comme au bon vieux temps des comédies de Cukor, hasards bienveillants et quiproquos se téléscopent (...) Chantal Akerman a beau donner quelques coups de patte malicieux à la psychanalyse, celle-ci n'est qu'un prétexte à courir vers le bonheur. Sans effet de style, sans prétention, mais - c'est dommage- avec quelques longueurs et quelques lourdeurs, Un Divan à New York, est d'abord une leçon de gaieté, un divertissement. Par temps de grisaille, c'est déjà pas mal."

"... et l'arrangement immobilier va tourner au coup de foudre à distance. Un dessous féminin qui traîne chez l'une, un appartement trop rangé pour un entourage bien dérangé chez l'autre : autant d'indices attendrissants pour une passion naissante (...) Comme au bon vieux temps des comédies de Cukor, hasards bienveillants et quiproquos se téléscopent (...)

Chantal Akerman a beau donner quelques coups de patte malicieux à la psychanalyse, celle-ci n'est qu'un prétexte à courir vers le bonheur. Sans effet de style, sans prétention, mais - c'est dommage- avec quelques longueurs et quelques lourdeurs, Un Divan à New York, est d'abord une leçon de gaieté, un divertissement. Par temps de grisaille, c'est déjà pas mal."