Tous les avis (79)
Utilisateur anonyme23 novembre 2025
chiant comme monter un meuble ikea sans notice
CAMILLE06 octobre 2025
Utilisateur anonyme27 septembre 2025
Utilisateur anonyme18 juin 2025
2h d'une femme en quête de d'identité, de sa liberté et de son bonheur. C'est un grand film.
Alexandra26 avril 2025
E101433241902925 avril 2025
991080000315529 mars 2025
MARTIN18 juillet 2024
Un portrait de femme merveilleux, bouleversant et irrésistible, qui brosse un tableau savoureux de notre époque. La comédienne Renate Reinsve est éblouissante de la première à la dernière seconde et fait de son personnage une héroïne solaire et follement attachante. Les 2 acteurs masculins sont eux aussi impeccables et parfaitement complémentaires autour de Julie. Le découpage en chapitres du film est très réussi, il y a des séquences inoubliables (chapitres 2 et 5) et l'ensemble réussit à maintenir un équilibre parfait entre comédie, mélodrame et romance. Drôle, poétique et déchirant : une merveille absolue. Une grande actrice, un grand film.
1010213816 juillet 2024
PRE0000077348226 juin 2024
Melanie09 juin 2024
Brossant un portrait tout en nuances d'une jeune femme qui se cherche, le film nous montre le côté inéluctable de cette quête d'identité et de liberté, mais aussi les dégâts qu'elle peut causer. Joachim Trier nous fait découvrir la ville d'Oslo à travers les déambulations de son héroïne, incarnée par une actrice lumineuse et touchante.
Sylva02 mai 2024
PRE0000079752322 avril 2024
BAPTISTE07 avril 2024
Le prologue du nouveau film de Joachim Trier annonce la couleur et tranche avec la gravité et l’acidité de ses précédents opus : portrait d’une trentenaire, il ouvre sur la vocation de la demoiselle face à ses études, et la conviction avec laquelle elle s’engage dans une voie, avant d’en changer avec une passion toute aussi intacte, et ce à plusieurs reprises avant de se contenter d’un modeste poste de libraire. Cette fragmentation indécise caractérise d’emblée Julie, une époque, et un pays, la Norvège, un des pays les plus riches au monde, dans lequel on peut pourtant, comme elle, se trouver en fondamentale inadéquation.
Mené tambour battant, le rythme irrégulier des 12 chapitres ne se démentira pas : il y a, dans ce portrait, la vigueur comique des Woody Allen période Annie Hall et Manhattan, alliée à cette mélancolie qui remplit discrètement les silences. Julie regarde le monde dans lequel elle avance avec l’envie évidente d’intégrer le cadre, sans pour le moment y parvenir : la maison en bois des amis de son compagnon, plus âgé qu’elle, forme ainsi une structure dans laquelle elle ne prend pas place. Parents ancrés dans la vie active, ils la regardent avec la même gêne que ceux qui peuplent la soirée de vernissage du même compagnon, de laquelle il faudra qu’elle s’échappe pour respirer.
L’exercice de la liberté se fera donc par sauts et gambades, et surtout par une succession de malentendus et de trébuchements terriblement attachants. Julie s’essaie à l’infidélité qui n’en sera pas une, se posant la question de ce qu’on peut faire avec un autre sans que la ligne soit considérée comme franchie, gèle le temps sur la ville pour offrir à ses fantasmes le plus vaste des décors, ouvre grandes les portes de la perception grâce à des champignons hallucinogènes. Celle que le titre original présente, selon son ressenti, comme « la pire personne au monde » n’y trouvera pas pour autant les voies attendues de l’épanouissement. La voix off, très présente, ajoute à la distanciation narrative opérée par la fragmentation en chapitre : chevauchant, au discours indirect, ce qui se dit dans la scène, elle opère ce recul que Julie a sans arrêt avec ses propres agissements, et ce douloureux constat de ne pas être pleinement elle-même. Les modèles qui s’offrent à elle (la généalogie des mères aboutissant à sa personne, un père déficient) n’offrent aucun élan, et l’homme avec lequel elle vit évolue dans une temporalité parallèle : c’est là aussi l’un des grands sujets du film, modeste saga temporelle qui joue des déconvenues et de rendez-vous manqués. L’amour, semblent dire Trier et son coscénariste Eskil Vogt, associé à tous ses longs métrages, ne consiste pas seulement à rencontrer la bonne personne : il faut aussi le faire au bon moment. Et Julie, qui se désole d’être « spectatrice de sa propre vie », cumule les impairs temporels.
Cette thématique du temps est aussi cruciale par ce que la trentenaire donne à voir de son époque. L’ère des réseaux sociaux modifie les rapports - elle refuse par exemple de savoir le nom de l’inconnu qu’elle rencontre pour ne pas le chercher sur Facebook par la suite, et la jeunesse se doit d’avancer avec une chappe de culpabilité pétrifiante sur les épaules : la fellation à l’ère de #metoo (titre d’un des chapitres, particulièrement savoureux) côtoie ainsi les ravages de la cancel culture et des diktats de la bonne conscience écologique : partout, les dérives du passé entrainent des injonctions au rachat par une génération qui n’a même pas commencé véritablement à vivre.
Julie (sublime et radieuse Renate Reinsve, prix d’interprétation à Cannes), qui reste bloquée par cette sensation de « ne jamais aller au bout des choses » devra son ouverture à des circonstances extérieures. Aksel, l’homme plus âgé avec lequel elle avait entamé une liaison importante avant de le quitter, sera malgré lui un initiateur.
Alors que le quadra fait état d’un monde en voie de disparition, qui dématérialise tout ce que fut son adolescence, la maladie qui le ronge annonce que la fête s’achève définitivement. Julie voit la vie se poursuivre de tout côté : son autre amant fonde une famille, son ancien brûle les étapes en accueillant la mort, mais tous les deux lui donnent les clés pour accueillir l’effroi et l’inquiétude. La phrase clé d’Aksel la propulse vers une nouvelle étape de sa vie : « Je sais des choses sur toi que tu as oubliées, lui dit-il. Elles disparaitront avec moi ». La disparition et la fausse couche la confrontent aux véritables gouffres, et à la valeur d’une vie dont elle saisit soudain la fragilité.
L’épilogue la voit trouver une place : décentrée, elle n’occupe plus le premier plan d’un plateau de tournage, qu’elle capture avec son appareil photo. L’actrice, qui ne sait pas pleurer sur commande, la renvoie à une ancienne version d’elle-même, qu’elle pourra aller rassurer. Julie, silhouette bienveillante dans l’ombre des coulisses, est devenue capable d’apporter aux autres, et la pire personne va pouvoir rejoindre le monde.
Julie Hélène07 avril 2024
7109809 mars 2024
Laurent04 mars 2024
J'ai passé un très bon moment avec ce film qui montre bien les contradictions traversant les générations des trentenaires : s'engager sans s'engager, s'affirmer mais changer au moindre vent, vouloir jouir sans subir et avoir de la profondeur sans soucis. Ceci, sans l'ombre de pessimisme dans l'oeil du réalisateur, qui fait porter son film par une actrice lumineuse, fraîche, nature et bouleversante. Je ne suis pas un fan des comédies romantiques mais j'ai aimé ce film, sans doute parce que ce n'était pas une comédie et ce n'était pas non plus romantique sous ses faux airs naïfs.
RAPHAEL29 novembre 2023
derrière la comédie de moeurs et la finesse de la réalisation, beaucoup de fiel et d'amertume de la part d'un homme de 45 ans envers la génération qui suit. une pomme empoisonnée.
Juanita27 octobre 2023
Sandra03 juin 2023
Thomas23 mai 2023
Un film qui se regarde comme on feuillette un magazine tendance avec plein d'idées, d'humour sur l'air du temps. Mais le portrait générationnel s'évente très vite. Divertissant peut-être, surtout anecdotique.
mroubaud21 avril 2023
Vincent18 avril 2023
Une palette d'émotions scandinave, une réalisation parfois très originale et savoureuse pimentant un film un peu long, des acteurs plutôt convaincants dans leur blabla, cela reste toutefois très ancré dans le relationnel et l'insatisfaction cosmique d'être ou ne pas être, de rêver et de craindre, de douter... d'être soi. Film sans révolution sidérale, pouvant même être classé dans la pure inutilité du vide orgasmique de faire un film, mais à la caméra bien menée dans les méandres de la vie.
Carine18 février 2023
***/*** Et le XIII TABLEAU, les COLONNES de BUREN en EQUILIBRE...parce que "jusqu'iCi TouT est CanDiDement pour le MieuX dans le MeiLLeuR des MonDes PoSSiBLeS"...
leila07 février 2023
GICLEUR26 décembre 2022
Quelques longueurs mais un jeu d'actrice extrêmement touchant, dans lequel chacun.e peut se retrouver.
Mathilde22 décembre 2022
Géraldine19 novembre 2022
Hélène04 novembre 2022
Marguerite19 octobre 2022
0000403096215106 octobre 2022
Danielle07 septembre 2022
L amour , le couple et ses interrogations , pas facile finalement !
acteurs et lumiéres d oslo ,
trés bons moments
superbe
Fanny03 septembre 2022
Nolwenn21 juillet 2022
celine18 juillet 2022
Eléa17 juillet 2022
Saisissant.
LOUIS16 juillet 2022
Chrystel14 juillet 2022
Annaick10 juillet 2022
France30 juin 2022
Vincent20 juin 2022
211350E012517 juin 2022
Axel13 juin 2022
guillaume.pare05 juin 2022
CF8703 juin 2022
Christian Hean-François29 mai 2022
Mais comment est-ce possible ?
Jean-Paul24 mai 2022
pour l'actrice lauréate du festival de cannes pour le scénario la photo un bon petit trois...
Pauline17 mai 2022
je m'attendais à mieux
Thierry15 mai 2022
fmk14 mai 2022
C'est beau
Claude13 mai 2022
minerbrother07 mai 2022
SOLAL06 mai 2022
Un des meilleurs films de l'année 2021. On passe par toute la gamme des émotions, la mise en scène est hyper inventive, on se croirait parfois chez Woody Allen.
Murielle02 mai 2022
Un peu long parfois mais plutôt intéressant comme sujet .
BastienTA29 avril 2022
Utilisateur anonyme28 avril 2022
Sophie25 avril 2022
J'ai persévéré jusqu'à la fin de ce film, mais rien à faire, je me suis ennuyée tout le long...
Laetitia25 avril 2022
Alice24 avril 2022
Très beau film ! Je recommande :)
Véronique24 avril 2022
Dorothée21 avril 2022
d'un ennui absolu
Florence20 avril 2022
Excellent, j'ai aimé le découpage du film, l'évolution de Julie.
Christian18 avril 2022
12 chapitres pour une grande maturité !
Patricia17 avril 2022
Un air de déjà vu chez Woody Allen. Je n'ai pas pu regarder jusqu'au bout. Patricia
Ludivine17 avril 2022
CLARA17 avril 2022
Manon16 avril 2022
Très beau portrait, avec une actrice formidable !
MAEVA14 avril 2022
Emouvant, intelligent, drôle, vrai, excellente actrice : très bon film
Thomas14 avril 2022
A voir. Ce film m'a plu du début à la fin.
Oscar13 avril 2022
Simon13 avril 2022
Aucun intérêt .
Elodie13 avril 2022
SUZANNE12 avril 2022
Excellent film
Sarah10 avril 2022
Superbe.
FRANCK10 avril 2022
Laura09 avril 2022
Film sublime, et bouleversant,
Salomé09 avril 2022
baillon08 avril 2022
Ascenseur émotionnel permanent, ce portrait d'une jeune femme indépendante et pleine de doutes et de désirs est une des plus belles expériences de cinéma de l'année 2021. Un trio d'acteurs merveilleux, une mise en scène en constante effervescence.
Marie08 avril 2022