Aujourd'hui Pierre Nivel est un journaliste de renom, présentateur du "13 heures" sur une grande chaine nationale. Il y a trente ans, à dix-sept ans, Pierre quittait en compagnie de ses parents l’Algérie, ravagée par la guerre d’indépendance. Il laissait derrière lui Leila, son amour d'enfance, un amour absolu, impossible, qu'il vit disparaitre derrière les grilles du port d'Alger. Alors qu'il se prépare, une fois de plus, à présenter le journal télévisé, un vieil homme algérien l'aborde pour lui transmettre un message obscur, un appel au secours.
Premier rôle : Antoine de Caunes
Premier rôle : Nozha Khouadra
Premier rôle : Samy Nacéri
Second rôle : Saïd Amadis
Second rôle : Mathilda May
Second rôle : Wadeck Stanczak
Second rôle : Pierre Vaneck
Second rôle : François-Xavier Noah
Second rôle : Dora Doll
Second rôle : Jean-Claude de Goros
Second rôle : Marie Guillard
Second rôle : Françoise Armelle-Chiche
Second rôle : Raphaël Lenglet
Second rôle : Mostefa Stiti
Second rôle : El Kebir
Second rôle : Matthias Van Khache
Second rôle : Mathieu Boujenah
Second rôle : Lorànt Deutsch
Second rôle : Gregory Reznik
Second rôle : Elsa Zylberstein
Second rôle : Richard Berry
Second rôle : René Bonnell
Second rôle : Nadia Samir
Second rôle : Daniel Saint-Hamont
Réalisation : Alexandre Arcady
Scénario : Antoine Lacomblez
Scénario : Alexandre Arcady
Producteur : Alexandre Arcady
Producteur : Alexandre Films
Directeur de la photo : Robert Alazraki
Montage : Joële Van Effenterre
Son : Dominique Levert
Musique originale : Philippe Sarde
Décors : Tony Egry
Costumes : Annie Perier
Auteur de l'oeuvre originale : René Bonnell
- Date de sortie en salles : 12 avril 2000
- Type de film : Long métrage
- Couleur : Couleur
- Langue : Français
- Date de production : 1999
- Pays de production : France
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Critique (1)
Le Monde - La Rédaction: Là-bas... mon pays
"(...) Alexandre Arcady a réussi, selon la presse algérienne, un film très nostalgique, sans que le mot suscite cette fois-ci la traditionnelle réaction de rejet. Il a aussi réussi le tour de force de faire renaître une autre nostalgie algérienne, celle du cinéma. Cela fait en effet très longtemps qu'on n'a pas vu un tel engouement dans un pays qui ne produit plus de films et où la plupart des salles de cinéma, héritées du « temps de la France » et nationalisées par la suite, ont périclité. (...)"