L'Art de séduire | Mediatheque Numerique

Synopsis
Casting & infos techniques

Jean-François, psychothérapeute amoureux d'une de ses patientes se sent enfin libre de la séduire lorsqu'elle décide d'arrêter sa thérapie. Tétanisé devant l'objet de son amour, Jean-François accumule toutes les maladresses. Il se tourne alors vers Julien, un de ses patients qui le consulte pour trouble obsessionnel compulsif de drague. Une initiative totalement absurde. Quoique...

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Critiques (3)

Le Point - Olivier de Bruyn: L'Art de séduire
" Pour son premier film, Guy Mazarguil, connu pour ses réalisations cathodiques, fait preuve d'une sympathique fantaisie scénaristique. Avec son personnage de psy névrosé (une sorte d'infirme sentimental ne s'avouant qu'une passion : photographier des poissons morts...), le cinéaste multiplie les situations saugrenues et ne se départit jamais d'une légèreté de ton qui disqualifie l'épanchement et la complaisance (...) le film entraîne sans souci dans son charme et bénéficie, en outre, de la prestation de Mathieu Demy, impeccable dans la peau du psy s'apercevant qu'il ne comprend rien à ses désirs et à ses (gros) problèmes. "
TéléCinéObs - Jean-Philippe Guerand: L'Art de séduire
" Cette comédie plutôt recommandable repose essentiellement sur son interprétation de haute volée d’où émerge le trio de charme que forment Mathieu Demy, Julie Gayet et Valérie Donzelli – qui excelle décidément dans les emplois de foldingues. Malgré un rythme assez inégal, dans ses moments les plus inspirés, ce film évoque les marivaudages d’Emmanuel Mouret. C’est indéniablement l’une des plus jolies surprises françaises de l’été."
Télérama - Anne Dessuant: L'Art de séduire
" Mais pourquoi donc ce psychothérapeute amoureux de sa patiente est-il obnubilé par les poissons ? Au point d'en voir partout et de les entendre chuchoter son nom. Avec ces visions incongrues, le réalisateur introduit une pointe de surréalisme dans une comédie de moeurs par ailleurs très balisée. Autour de Mathieu Demy, un Jean-Pierre Léaud période Baisers volés, gravitent des névrosés répertoriés : l'amoureuse obsessionnelle (Julie Gayet), le pote érotomane (Lionel Abelanski) et la bipolaire craquante (Valérie Donzelli, parfaite). On regrette une mise en scène trop sage, mais les dialogues sont malins, et les acteurs tous attachants."

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