Kom, un jeune singe espiègle, fait partie des Woonkos, une tribu de singes qui vit dans la canopée et dont la hantise est de tomber dans le monde d'en bas, qu'elle croit peuplé de monstres maléfiques. Kom refuse de croire à ces vieilles légendes et, par bravade et imprudence, se retrouve projeté dans ce fameux monde, qui se révèle être celui des Laankos. Sauvé par le roi, il découvre avec l'aide de Gina et du vieux maître Flavius la civilisation et les habitudes des habitants du château. Mais s'il devient le favori du roi, il se fait un terrible ennemi du grand chancelier, qui veut prendre le pouvoir.
Premier rôle : Tara Römer
Premier rôle : Nadia Farès
Second rôle : Michael Lonsdale
Second rôle : Jean Piat
Second rôle : Pierre Arditi
Second rôle : Patrick Préjean
Second rôle : Ivanah Coppola
Réalisation : Jean-François Laguionie
Scénario : Norman Hudis
Scénario : Jean-François Laguionie
Producteur : Patrick Moine
Producteur : Gerd Hecker
Producteur : Steve Walsh
Producteur : Les Films du Triangle
Producteur : Carrington Productions International
Producteur : Ventureworld Films
Producteur : Steve Walsh Productions
Producteur : Cologne Cartoon GmbH
Montage : Soïzic Veillan
Montage : Yves Françon
Montage : Ludovic Cassou
Musique originale : Alexandre Desplat
Animation : Lajos Nagy
Animation : Ginger Gibbons
- Date de sortie en salles : 02 juin 1999
- Type de film : Long métrage
- Couleur : Couleur
- Langue : Français
- Date de production : 1999
- Pays de production : Allemagne
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Critique (1)
Les Inrockuptibles - Vincent Ostria: Le Château des singes
"Enfin un long métrage d'animation français capable de rivaliser avec les sournois Yankees. Réalisé par Jean-François Laguionie, qui n'avait pas donné de ses nouvelles depuis quinze ans, depuis son splendide Gwen, le livre de sable, le film est évidemment conçu comme un produit à vocation internationale. D'où un graphisme assez clean et une ribambelle de chansons qui viennent émailler le récit à la manière des Disney et consorts. Mais comme cela ne nuit pas à la qualité de l'ensemble, c'est de bonne guerre. Laguionie s'explique ainsi : "Je ne voulais pas faire un autre film que personne ou presque ne puisse voir. Pour la première fois j'ai travaillé en pensant aux enfants..." Mission accomplie. Et puis, les multiples facéties du héros, Kom, singe espiègle et frondeur, sont contrebalancées par des zones d'ombre qui font du film une oeuvre plus ambiguë qu'il n'y paraît."