Revenir au film

Tous les avis (10)

E000013452850106 mai 2023
Denis19 décembre 2021
un film noir qui emmène dans le monde du fantasme. Magnifique réalisation
Noémie24 novembre 2021
Un très grand Mario Bava qui signe au début des années 1960 ce petit classique baignant dans le cinéma gothique et dans un érotisme assez audacieux pour son temps. Christopher Lee et Dahlia Lavi sont à la fois sauvages et romantiques... Une oeuvre fascinante.
Lionel14 février 2021
Ou comment, à partir d'une histoire sans grand intérêt, arriver à un résultat visuellement saisissant grâce à une parfaite maîtrise des lumières et du cadrage.
Philippe23 janvier 2021
CHRISTIAN27 juillet 2020
Maxime17 mai 2020
Marc12 mai 2020
Pour ma part, pas fan de ces films italiens fantastico-gothiques : c'est le deuxième film de Mario Bava que je vois (après "La baie sanglante" qui ne m'avait pas emballé non plus); et le moins que je puisse dire est que celui-ci a plutôt mal vieilli malgré certaines qualités indéniables (acteurs, photos, décors entre autre). Ce film m'a plutôt ennuyé, tout comme par exemple "le chien des Baskerville" vu aussi récemment, et qui est aussi considéré pourtant comme un classique de la Hammer de cette époque. Après il est vrai que ce film de Bava est une rareté donc... profitez en pour le visionner et vous faire votre propre opinion. ma note : 9/20
Médiathèque17 octobre 2019
Il faut se féliciter que les éditeurs francophones se soient ENFIN emparés du cinéma de genre après un gros creux de presque 10ans et la disparition de spécialistes du « mauvais cinéma » (Neo Publishing en tête). Voilà donc que réapparaissent quelques pièces indispensables dans notre Hexagone : citons la réédition du catalogue Fulci chez l’excellent Artus, mais aussi le travail remarquable d’ESC editions qui nous gratifie de combos DVD/Blu-Ray de très bonne facture. En témoigne « Le corps et le fouet », peut-être le meilleur film de Mario Bava (et l’un des préférés de ses aficionados). Alors que les cinéphiles du monde entier se passionnent pour le renouveau du film gothique (avec les productions britanniques du studio Hammer d’un côté, ou les adaptations aux USA de l’œuvre de Poe par Roger Corman), des producteurs italiens décident de s’engouffrer dans cette veine et d’en proposer une version transalpine. Si le formidable « Le moulin des supplices » (1960) amorcait déjà un gothique à l’italienne, c’est Mario Bava, auréolé du succès du « Masque du démon » à qui les producteurs accordent leur confiance. Celui-ci décide alors de faire appel à Christopher Lee, le « Monsieur Dracula » de la Hammer, qui réside alors en Suisse. Une décision qui renforce encore davantage l’objectif avoué : faire croire à tout prix à une production anglo-saxonne…Pourtant, « Le corps est le fouet » est loin de se résumer à un simple film horrifique (de vampire ? de fantôme ? Un peu tout cela à la fois ?). Il est surtout un film d’une impertinence surprenante, par ses scènes masochistes et sensuelles, le travail sur les couleurs et la caméra, et la psychologie de ses personnages. Du grand cinéma de genre !
Clara15 mai 2019