Joëlle et Kamel font tous deux partie de l'équipe municipale de la nouvelle maire de Montfermeil, Emmanuelle Joly, mais ils sont en instance de divorce. Toute l'équipe travaille à la mise en œuvre d'une nouvelle et très surprenante politique, dont la pierre angulaire est la création de la " Montfermeil Intensive School of Languages ". Tandis que la ville change et prospère, Joëlle et Kamel se chamaillent…. Mais à l'occasion de la Fête de la Brioche, leur amour peut-il renaître ?

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Critiques (2)

  • Cahiers du Cinéma - Paola Raiman: Merveilles à Montfermeil
    "La malice et l’intelligence propres à cette comédie tiennent précisément à ce que les politiques ne sont pas montrés par Balibar comme des individus cyniques et intéressés mais représentés au contraire comme une bande d’illuminés."
  • Les Inrockuptibles - Gérard Lefort: Merveilles à Montfermeil
    "Tel le titre du film, Montfermeil rime avec merveilles. C'est une utopie qui, comme dans le livre de référence de Thomas More, est une île, mais ici flottante au gré du contre-courant des idées folles. La plus belle proposition de "Merveilles à Montfermeil" vient de sa militance bienveillante contre l'effondrement général du langage."

vos avis (16)

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  • Thierry06 juin 2021
  • LAURIANE24 avril 2021
  • Herve08 janvier 2021
    insupportable...
  • CHRISTIAN28 juillet 2020
  • emilili88@hotmail.com23 juin 2020
    Nous n'avons regardé que les trente premières minutes et c'est déjà beaucoup trop !
  • ALAN15 juin 2020
    J'ai survécu 20 min. Pfff que c'est inintéressant et balourd. Bref next
  • Fabrice10 juin 2020
  • Compte05 juin 2020
    A éviter absolument ; un des plus mauvais films qu'il m'ait été donné de voir.
  • camille5022@aol.com23 mai 2020
  • sonia22 mai 2020
    Une comédie loufoque divertissante qui traite de la politique et du vivre-ensemble multiculturel
  • Juliette21 mai 2020
    D'une liberté folle, une joie communicative, à voir absolument, ça déconfine l'imaginaire !
  • Philippe20 mai 2020
    Très belle fable, pamphlétaire quand il faut, sur l'utilitarisme appliqué aux 'publics' en déshérence dans les 'quartiers (ndlr labellisés) populaires'. Mieux que le Fable of Bees, Jeanne Balibar et des comédiens inattendus sous ces tropiques mal aimés et mal compris montrent que la prise en charge sociale ce n'est pas que "poser des tuteurs". La pose de tuteur est l'unité de contrôle de gestion de bien des collectivités territoriales qui ont à gérer des tissus sociaux pauvres. Sont donc traités au second degré dans une Mairie IIIème République l'hystérie des élus qui sont désarmés et des publics sociaux dans le désoeuvrement (bien vu : la bataille à coups d'extincteurs percutés). Belle mise en scène avec des acteurs d'un jour (c'est la mode) dirigés avec justesse. Toutes les misères son traitées sur fond de rénovation urbaine spéculative dite mixte avec les subventions de l'ANRU. Bien évidemment il faut bien connaître ces quartiers pour apprécier le film.
  • Jean-Pierre17 mai 2020
    Vraiment très décevant et décousu, on n'a pas réussi à le regarder jusqu'au bout, quel gâchis !
  • christine15 mai 2020
    Aucun intérêt. Que des bons acteurs mais aucune histoire. Quelle nullité !
  • Doumey13 mai 2020
    Insipide, mauvaise comédie, dommage pour les acteurs qui ont participé à cette farce. Impossible de tenir plus de dix minutes....
  • olivier12 mai 2020
    le scénario pourrait paraître loufoque ou décalé. Non, il est juste fade, terne, totalement insipide. Dans quelle galère se sont embarqués de talentueux artistes tels que Emmauelle Béart, Ramzy, Amalric, etc. ???