
Subway
1H44Cinéma / RomanceFrance
Fred, voyou au grand cœur et musicien à ses heures perdues, s'éprend de la riche Héléna, dont il a forcé le coffre-fort. Il s'est emparé de documents compromettants pour son mari. Poursuivi par les hommes de main de celui-ci, il se réfugie dans le métro. Fred y découvre une faune étrange, fixée à demeure, loin des lumières du jour. Les couloirs secrets deviennent son refuge favori. 13 nominations et 3 prix aux Césars de 1986 : Meilleur Acteur pour Christophe Lambert, Meilleur Décor et Meilleur Son.
Premier rôle : Isabelle Adjani
Premier rôle : Christophe Lambert
Second rôle : Richard Bohringer
Second rôle : Michel Galabru
Second rôle : Jean-Hugues Anglade
Second rôle : Jean-Pierre Bacri
Second rôle : Jean Bouise
Second rôle : Pierre-Ange Le Pogam
Second rôle : Jean Reno
Second rôle : Arthur Simms
Second rôle : Constantin Alexandrov
Second rôle : Jimmy Blanche
Second rôle : Eric Serra
Second rôle : Alain Guillard
Second rôle : Maria Vincent
Second rôle : Pierre Carrive
Second rôle : Jean-Michel Castanié
Second rôle : Brigitte Chamarande
Réalisation : Luc Besson
Scénario : Luc Besson
Scénario : Pierre Jolivet
Scénario : Alain Le Henry
Scénario : Sophie Schmit
Producteur : Luc Besson
Producteur : François Ruggieri
Directeur de la photo : Carlo Varini
Son : Harald Maury
Son : Harrick Maury
Musique originale : Eric Serra
Décors : Alexandre Trauner
Dialogues : Luc Besson
Dialogues : Marc Perrier
- Date de sortie en salles : 10 avril 1985
- Type de film : Long métrage
- Couleur : Couleur
- Langue : Français
- Date de production : 1985
- Pays de production : France
thèmes
proposé par :
partager
Critique (1)
Courte-focale.fr - Guillaume Gas: Subway
" (...) Outre l’énergie de la mise en scène et la lisibilité parfaite du montage, un élément retient toute notre attention durant cette scène : la musique. Et si l’on se souvient bien des trois lignes qui introduisaient le film, tout parait alors très clair : une phrase de Socrate (To be is to do), une phrase de Sartre (To do is to be) et une phrase de Sinatra (Do be do be do). C’est le processus même du film qui est alors résumé : relier l’acte créatif à la partition musicale, en faisant en sorte que les deux soient consubstantiels. L’association musique/image sera donc la règle de départ, le tout dans un décor progressivement insolite que la caméra de Besson prendra le temps d’explorer sous tous les angles. Du coup, si l’on admet que l’un des plaisirs du cinéma consiste à mettre en relation des éléments et des espaces, en jouant sur la musicalité du montage autant que sur la durée des plans, la puissance visuelle de Subway peut encore être considérée comme une vraie audace pour l’époque. (...)"
Retrouvez l'intégralité de la critique sur courte-focale.
Retrouvez l'intégralité de la critique sur courte-focale.
vos avis (2)
Julie Hélène07 avril 2024
Lucie20 novembre 2022
C’est fluide, c’est beau. Les courses poursuites sont incroyable. Isabelle Adjani est aussi insolente que ces coupes de cheveux. C’est rythmé c’est magique. Gros coup de cœur.