"Wat opvalt in de film is hoe overtuigend er in alle rollen geacteerd wordt, zowel door hoofdrolspeler Valerio Mastandrea, de mysterieuze vreemdeling in het café, als door de bonte stoet van wanhopige bezoekers die er om raad komen vragen. Ook de uitstekende muzikale score, van Maurizio Filardo, alsmede het prima camerawerk van de zeer ervaren Fabrizio Lucci dragen bij aan de indrukwekkende ervaring van het zien van The Place. En ze laten de bezoeker achter met erg veel stof tot nadenken. Want sommige wensen ten opzichte van anderen kunnen maar beter nooit worden vervuld."

"Adapté d’une série américaine ("The Booth at the end"), ce film au dispositif théâtral brille par sa virtuosité retorse. Dans le huis-clos d’un bar nimbé d’une lumière d’aquarium, les clients se succèdent, pour un ballet métronométrique. L’intrigue repose exclusivement sur les dialogues, la puissance des échanges menés au fur et à mesure de l’avancée des défis par ce drôle de confesseur, entre négociation commerciale et exploration psychanalytique. « Pourquoi demander des choses aussi horribles ? », s’enquiert un père incité à tuer une petite fille pour sauver son fils malade. « Parce qu’il existe des gens pour les faire », rétorque l’homme sans nom. Est-il le Diable ? Plutôt un intermédiaire, qui tend aux clients un miroir, les renvoie à leurs compromissions, questionne leur libre arbitre – car chacun, à tout moment peut renoncer au pacte. Le scénario s’emberlificote dans des coïncidences vaudevillesques, mais ce conte faustien propose une psychanalyse à la fois stimulante et déséspérante. Sans surprise, nul besoin de vendre son âme au Malin, ce dernier réside en chacun de nous... "

"Om dit originele maar o zo riskante concept tot een goed einde te brengen heb je twee dingen nodig: geweldige verhalen en dito acteurs. In beide opzichten slaagt ‘The Place’ met hoogste lof."

"Parfaite réussite dramatique (adaptée d'une série télé américaine), ce film – le onzième de Paolo Genovese, mais le premier à sortir en France – est réalisé de main de maître, sans chute de tension, malgré le huis clos total. On a très envie de voir les autres."

"Een morele schuifpuzzel"