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Hommage à Jean-Luc Godard

Le cinéma pleure la disparition de Jean-Luc Godard, figure phare de la Nouvelle Vague, dont A bout de souffle (1960), devenu culte, deviendra le manifeste. Cinéaste critique et révolté, plasticien de l’image, il obtient l’Ours d’or à Berlin en 1965 pour Alphaville et bouscule la France en pleine période 68 au côté de William Klein (Loin du Vietnam), lui aussi récemment disparu. Avec près de 100 films à son actif, ce réalisateur prolifique n'a de cesse de réinventer la pratique du cinéma. Découvrez notamment Le Mépris et Pierrot le fou, deux de ses grands succès.

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Hommage à Jean-Paul Belmondo

Né en 1933, le populaire acteur Jean-Paul Belmondo nous a quitté, à l’âge de 88 ans. Il laisse derrière lui une filmographie tournée aux côtés des plus grands, à commencer en 1959, par Jean-Luc Godard, avec À bout de souffle. Ce film marque un tournant dans sa carrière et celui que l’on surnomme "Bébel" enchaîne ensuite les succès, parmi lesquels Pierrot le fou, Cartouche, Un Singe en hiver, où il partage l’affiche avec Jean Gabin ou encore Peur sur la ville. Hommage à une grande star du cinéma français avec une rétrospective de quelques-uns de ses plus beaux rôles.

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Hommage à Michel Piccoli

Né en 1925, Michel Piccoli rencontrera le succès avec Le Mépris, de Jean-Luc Godard, en 1963. Tout au long des années 60 et 70, il jouera sous la direction de grands noms du cinéma et notamment aux côtés de ses réalisateurs fétiches, Luis Buñuel (dans Le journal d’une femme de chambreLe charme discret de la bourgeoisie…) et Claude Sautet (dans Les choses de la vie, Max et les Ferrailleurs, Mado…). En 2011, son interprétation dans Habemus Papam, de Nanni Moretti, lui vaudra d’être porté en grâce. Une filmographie et un documentaire à (re)découvrir, en hommage à ce monument du cinéma français.

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Hommage à Michel Legrand

Reconnu dès la fin des années 1950 pour ses arrangements jazz pour Miles Davis ou John Coltrane, la carrière de Michel Legrand comme compositeur de musique de film prend son essor dans les années 1960, pendant la Nouvelle Vague. Il compose alors pour Jean-Luc Godard (Une femme est une femme) Chris Marker (Le Joli Mai), Agnès Varda (Cléo de 5 à 7), et bien-sûr, Jacques Demy, avec Lola, Peau d’Ane, la comédie musicale culte Les demoiselles de Rochefort et Les parapluies de Cherbourg, film dans lequel tous les dialogues sont chantés par les protagonistes et qui lui vaudra sa première nomination aux Oscars. Une œuvre à redécouvrir, pour le plaisir de la musique.