La sélection LaCinétek de Joachim Lafosse

Premier rôle

Réalisation

Scénario

Dialogues

Joachim Lafosse

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MN_SUBGENRE_851

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MN_SUBGENRE_MUSIQUE ACTUELLE

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MN_SUBGENRE_ECONOMIE

MN_SUBGENRE_845

MN_SUBGENRE_833

MN_SUBGENRE_701

MN_SUBGENRE_717

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MN_SUBGENRE_DOC_POLITIQUE

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MN_SUBGENRE_863

MN_SUBGENRE_INCONTOURNABLE_JEUNESSE

MN_SUBGENRE_THEATRE ET DANSE

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MN_SUBGENRE_MUET

MN_SUBGENRE_DRAME

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MN_SUBGENRE_SOCIETE

MN_SUBGENRE_MODE

MN_SUBGENRE_ENVIRONNEMENT

MN_SUBGENRE_857

MN_SUBGENRE_MUET_ET_CLASSIQUES

MN_SUBGENRE_DES_9_ANS

MN_SUBGENRE_CINE_POLITIQUE

MN_GENRE_SPECTACLES

MN_SUBGENRE_OPERA_ET_MUSIQUE_CLASSIQUE

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MN_SUBGENRE_MUSIQUE

MN_SUBGENRE_RELIGION

MN_GENRE_CINEMA

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MN_SUBGENRE_INCONTOURNABLE_CINEMA

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MN_SUBGENRE_SPORT

MN_GENRE_DOCUMENTAIRE

Raymond Depardon

Directeur de la photo

Sophie Ristelhueber

Paul Bertault

Olivier Froux

Montage

Producteur

San Clemente, un h&ocirc;pital psychiatrique situ&eacute; dans une &icirc;le au large de Venise. Les malades y m&egrave;nent une vie libre. Ils participent m&ecirc;me au carnaval. Raymond Depardon effectue plusieurs reportages photos. En 1980, il y retourne avec Sophie Ristelhueber et du mat&eacute;riel de tournage. L&#39;h&ocirc;pital est menac&eacute; de fermeture... Ce film est une immersion bouleversante et inoubliable dans l&#39;univers psychiatrique.

GUERIR

MALADIE

FOLIE

LIBERTE

VOISINAGE

San Clemente

D&eacute;couvrez des images que l&#39;on voit peu en Europe, des sc&egrave;nes de vie quotidienne, des rencontres d&#39;hommes, de femmes et d&#39;enfants qui vivent dans des conditions difficiles. Un voyage avec un guide qui nous ouvre son coeur.

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Raymond Depardon &eacute;voque l&#39;Afrique de tous les jours, chaleureuse, g&eacute;n&eacute;reuse, unique, d&eacute;chir&eacute;e, pudique. Sous forme de journal film&eacute; seul, un micro sur la cam&eacute;ra, il confronte ses a priori en parcourant de juillet 1993 &agrave; f&eacute;vrier 1996 les lieux fragiles du continent. Il s&#39;interroge sur sa responsabilit&eacute; d&#39;homme d&#39;image &agrave; parler de la douleur.

Afriques : Comment ça va avec la douleur ?

Il a traqu&eacute; les vedettes, fait le tour du monde des pays en guerre, film&eacute; la campagne de Giscard, fond&eacute; l&#39;agence Gamma. Autoportrait de Raymond Depardon, grand reporter-photographe.

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Fix&eacute; sur ses souvenirs, c&#39;est-&agrave;-dire sur ses photos, Raymond Depardon nous raconte vingt ans de sa vie, depuis le moment o&ugrave; il quitte sa ferme natale de Villefranche-sur-Sa&ocirc;ne et monte &agrave; Paris pour tenter de devenir reporter-photographe, jusqu&#39;&agrave; la fin des ann&eacute;es 70 o&ugrave; il s&#39;envole pour l&#39;Afghanistan. Entre-temps, il aura guett&eacute; et photographi&eacute; les stars du cin&eacute;ma, de la chanson et de la politique, film&eacute; le Venezuela sous tension, effectu&eacute; plusieurs missions au Tchad (dont une pour interviewer l&#39;arch&eacute;ologue Fran&ccedil;oise Claustre, otage au Tibesti), voyag&eacute; en Alg&eacute;rie, au Biafra, au Vi&ecirc;t-nam, au Chili, r&eacute;alis&eacute; des films (San Clemente, Reporters, 1974, une partie de campagne, Num&eacute;ro z&eacute;ro) et fond&eacute; la premi&egrave;re agence fran&ccedil;aise de photoreporters ind&eacute;pendants...

Les Années déclic

Une plong&eacute;e sans filet dans le quotidien de l&#39;institution judiciaire, un film superbe et g&eacute;n&eacute;reux.

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Paris, le Palais de Justice. 
Des personnes arr&ecirc;t&eacute;es en flagrant d&eacute;lit passent devant le substitut du procureur pour un entretien. Les pr&eacute;venus se succ&egrave;dent. Un voleur &agrave; la tire. Un drogu&eacute;. Un joueur de bonneteau, indicateur de police. Un mari violent. Une femme alcoolique. Un gar&ccedil;on qui a insult&eacute; des policiers. Un &quot;fils de famille&quot; qui a tagg&eacute; un wagon de m&eacute;tro. Des &eacute;trangers en situation irr&eacute;guli&egrave;re. Une fille en rupture de famille, prostitu&eacute;e pour survivre. Un ch&ocirc;meur, voleur de portefeuille, sans ant&eacute;c&eacute;dents... 
Aveux, regrets, mutisme, monologue, roublardise ou dialogues de sourds. Un huis clos exceptionnel o&ugrave; s&#39;affrontent substitut et pr&eacute;venu.

Délits flagrants

Retrouvez la filmographie du photographe, puis cin&eacute;aste&nbsp;Depardon, un artiste qui s&#39;attache &agrave; filmer ce qu&#39;il y a d&#39;inexprimable dans ses photos : les personnages de ses documentaires discutent, n&eacute;gocient, jugent, interviennent&nbsp;et d&eacute;battent.&nbsp;Ils sont policiers, reporters, juges, d&eacute;tenus, m&eacute;decins, d&eacute;linquants, parents ou intern&eacute;s sans leur consentement, comme dans le dernier film du r&eacute;alisateur sorti r&eacute;cemment : 12 Jours.

Le cinéma humaniste de Raymond Depardon

San Clemente

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