Liste de lecture deWim Wenders
0 filmDepuis la gare grouillante de Rio jusqu'aux plateaux déserts, une institutrice à la retraite et un petit garçon traversent le Brésil pour retrouver un père qui ne répond plus au courrier. Un voyage initiatique et célébration de l'âme d'un pays à travers ses paysages. Premier grand succès pour l'auteur de "Carnets de voyage", et un Ours d'or au Festival de Berlin 1998.
Premier rôle : Fernanda Montenegro
Premier rôle : Vinicius de Oliveira
Second rôle : Marilia Pera
Second rôle : Otavio Augusto
Second rôle : Soia Lira
Second rôle : Mateus Nachtergaele
Second rôle : Steila Freitas
Second rôle : Othon Bastos
Second rôle : Caio Junqueira
Réalisation : Walter Salles
Scénario : Walter Salles
Scénario : Marcos Bernstein
Scénario : João Emanuel Carneiro
Producteur : Thomas Garvin
Producteur : Donald Ranvaud
Producteur : Walter Salles
Producteur : Robert Redford
Producteur : Elisa Tolomelli
Producteur : Arthur Cohn
Producteur : Lilian Birnbaum
Producteur : Antoine de Clermont-Tonnerre
Directeur de la photo : Walter Carvalho
Montage : Felipe Lacerda
Montage : Isabelle Rathery
Son : Jean-Claude Brisson
Musique originale : Jaques Morelembaum
Musique originale : Antonio Pinto
Costumes : Cristina Camargo
- Date de sortie en salles : 02 décembre 1998
- Type de film : Long métrage
- Couleur : Couleur
- Langue : Portugais
- Date de production : 1997
- Pays de production : Brésil
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Critique (1)
Positif - Jean-Pierre Jeancolas: Central do Brasil
" Central do Brasil est un voyage initiatique et une traversée picaresque du Brésil contemporain. Les grands espaces sur grand écran, la misère et la faim, la solidarité aussi, les traces tangibles de la crise économique, l’emprise du religieux (charlatanisme, opium du pauvre et petits trafics) encadrent ou jalonnent l’itinéraire de la femme et de l’enfant. Le regard documentariste de Walter Salles voit le pays comme il est, sans doute, débarrassé (privé) de la violence baroque, de la folie expressionniste et magique de Rocha ou de Diegues au temps du Cinema Novo. Salles est plus proche d’un néo-réalisme minutieux,d’un rendu immédiat du réel tempéré par la couleur. Ce réel tempéré est en phase avec le caractère des personnages. Dès que ses héros ont quitté l’enfer urbain, la colère de Salles fait place à une compassion volontiers attendrie..."