03 JUIN 2017

Première - Isabelle Danel: Lulu femme nue

Du roman graphique d’Étienne Davodeau, Sólveig Anspach a gardé l’essence, soit le cheminement intérieur d’une femme. Mais, alors que, dans la BD, son histoire était racontée par ses amis, le film passe par ses yeux à elle. (...) Chez Sólveig Anspach, les femmes sont fortes même si elles ne le savent pas, et elles se servent toujours de ce que la vie leur donne (ou leur prend) pour avancer. Retrouvant sa réalisatrice de Haut les coeurs !, Karin Viard, dans un rôle moins ouvertement « guerrier », renoue avec une palette d’émotions aux mille nuances. Cette échappée belle habitée de personnages fantasques est tonique, émouvante et encourageante.

Du roman graphique d’Étienne Davodeau, Sólveig Anspach a gardé l’essence, soit le cheminement intérieur d’une femme. Mais, alors que, dans la BD, son histoire était racontée par ses amis, le film passe par ses yeux à elle. (...)

Chez Sólveig Anspach, les femmes sont fortes même si elles ne le savent pas, et elles se servent toujours de ce que la vie leur donne (ou leur prend) pour avancer. Retrouvant sa réalisatrice de Haut les coeurs !, Karin Viard, dans un rôle moins ouvertement « guerrier », renoue avec une palette d’émotions aux mille nuances. Cette échappée belle habitée de personnages fantasques est tonique, émouvante et encourageante.