03 JUIN 2017

Télérama - Cécile Mury: L'Eté en pente douce

" Le film s'apparente aux grandes comédies italiennes. La pauvreté, le sexe, l'ennui y sont montrés avec une poisseuse crudité. Mais Gérard Krawczyk observe ses personnages avec compassion. Jacques Villeret est d'une drôlerie déchirante, face à un Jean-Pierre Bacri bougon et secrètement blessé. Pauline Lafont, dont c'était le premier grand rôle, deux ans avant sa mort, offre à sa touchante Marilyn de Prisu un mystère et une fragilité uniques."

" Le film s'apparente aux grandes comédies italiennes. La pauvreté, le sexe, l'ennui y sont montrés avec une poisseuse crudité. Mais Gérard Krawczyk observe ses personnages avec compassion. Jacques Villeret est d'une drôlerie déchirante, face à un Jean-Pierre Bacri bougon et secrètement blessé. Pauline Lafont, dont c'était le premier grand rôle, deux ans avant sa mort, offre à sa touchante Marilyn de Prisu un mystère et une fragilité uniques."