Jeanne Charmant Killman, juge d'instruction, est chargée de démêler une complexe affaire de concussion et de détournements de fonds mettant en cause le président d'un important groupe industriel. Elle s'aperçoit que plus elle avance dans ses investigations, plus son pouvoir s'acccroît. Mais au même moment, et pour les mêmes raisons, sa vie privée se fragilise.

Deux questions essentielles vont bientôt se poser à elle : jusqu'où peut-elle augmenter ce pouvoir sans se heurter à un pouvoir plus grand encore ? Et jusqu'où la nature humaine peut-elle résister à l'ivresse du pouvoir ?

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Critiques (2)

  • Le Monde - Jean-Luc Douin : L'ivresse du pouvoir thumbnailLe Monde - Jean-Luc Douin : L'ivresse du pouvoir
    Le caractère grinçant de sa sarabande de mises en examen réjouit Chabrol, mais ce qui hante l'hitchcockien, depuis toujours, c'est ce qui se cache derrière les apparences, la théâtralité, les lunettes mauves de la chasseresse.
  • Télérama - Aurélien Ferenczi : L'ivresse du pouvoir thumbnailTélérama - Aurélien Ferenczi : L'ivresse du pouvoir
    Avec une bonhomie misanthrope, Chabrol renvoie dos à dos ces ombres condamnées à disparaître. Elles lui offrent pourtant l'un de ces magnifiques trompe-l'oeil dont il est passé maître.

vos avis (2)

  • Eric31 octobre 2020
    Un magnifique casting, aussi pour les nombreux seconds rôles excellents. La réalisation et le montage ne sont pas à la hauteur des comédiens. Dommage. Une belle façon néanmoins de se replonger dans l'affaire Elf/Le floch Prigent.
  • Philippe06 juillet 2020
    Décevant. Un film pour sociologues de gauche qui ont aimé commenter Eva Joly contre Loïc Le Floch Prigent. C'est la chronique judiciaire de Libé ? Un film plat comme un trottoir dans l'intimité des salles de bain haussmanniennes. J'étais venu pour les têtes d'affiche dont le talent n'est pas sollicité. Pour des plaidoiries, des vraies, et des acteurs flamboyants : les bonnes causes 1963.