
Rouge midi
1H30Cinéma / DrameFrance
De 1920 à 1980... du fin fond de la Calabre aux quartiers de Marseille... Maggiorina, Jérôme et Mindou, Ginette, Pierre, Céline, Sauveur... Tous traversent le cours de l'Histoire avec au cœur l'envie de croire qu'un idéal de justice pourrait mener le monde...
Premier rôle : Ariane Ascaride
Premier rôle : Gérard Meylan
Premier rôle : Jacques Boudet
Premier rôle : Raul Gimenez
Premier rôle : Pierre Pradinas
Second rôle : Martine Drai
Second rôle : Frédérique Bonnal
Second rôle : Pierre Banderet
Réalisation : Robert Guédiguian
Scénario : Frank Le Wita
Scénario : Robert Guédiguian
Producteur : Alain Dahan
Directeur de la photo : Gilberto Azevedo
Montage : Catherine Poitevin
Son : Antoine Ouvrier
Décors : Michel Vandestien
Acteur catalogue : Pierre Pradinas
Acteur catalogue : Ariane Ascaride
Acteur catalogue : Gérard Meylan
Acteur catalogue : Raul Gimenez
Acteur catalogue : Martine Drai
- Date de sortie en salles : 01 janvier 1986
- Type de film : Long métrage
- Couleur : Couleur
- Langue : Français
- Date de production : 1984
- Pays de production : France
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Critiques (2)
La Saison cinématographique 1986 - Marcel Martin: Rouge midi
" Cette cavalcade historique et symbolique intègre les grands
évenements vécus dans leur cadre limité par les habitants du quartier
et s'insère dans les décors de banlieue utilisés de manière plutôt
métaphorique; les personnages sont conçus comme des types et chaque séquence, ayant son unité temporelle, est filmée comme un tableau de
théâtre (...) le film a le grand mérite d'éviter tout didactisme
ouvriériste en nuançant d'humour et de tendresse le populisme."
Cinéma - Jean Roy: Rouge midi
" Loin de toutes les modes, parent de trop rares films comme Histoire d'Adrien ou Le Destin de Juliette, Rouge midi est une chronique familiale qui tire sa force de la justesse du regard porté sur un lieu précis, en l'occurence le quartier de l'Estaque à Marseille, et sur les gens qui y vivent, des gens aussi communs que leur présence à l'écran est rare. Ce sont ces hommes et ces femmes que l'on voit vivre pendant quatre générations (...)
Le grand interêt de ce film est de restituer une mémoire, celle du peuple.
Robert Guédiguian n'a pas eu l'argent qui aurait été nécessaire à la reconstitution de cette vaste fresque. le film en souffre parfois (...) mais le plus souvenr, le réalisateur s'en sort vavec une science consommée du détrail. On est plus sensible au passage de l'italien au français, à l'évolution des moeurs, à l'apparition des différentes formes de progrès ménager..."
Le grand interêt de ce film est de restituer une mémoire, celle du peuple.
Robert Guédiguian n'a pas eu l'argent qui aurait été nécessaire à la reconstitution de cette vaste fresque. le film en souffre parfois (...) mais le plus souvenr, le réalisateur s'en sort vavec une science consommée du détrail. On est plus sensible au passage de l'italien au français, à l'évolution des moeurs, à l'apparition des différentes formes de progrès ménager..."