1 saison disponible

Contacts - Le renouveau de la photographie contemporaine
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0 note1H43Documentaire / Beaux ArtsFrance
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1 saison disponible
1 saison
8 épisodes
Synopsis
Pack 1 : épisodes xx à 2
Episode XX - 13min : Duane Michals - La photographie entre réalité et vérité." ...Les photographes en général pensent que la photo reproduit fidèlement ce qu'ils voient. Que réalité et vérité sont presque synonymes. Je ne crois pas moi en la réalité. c'est pourquoi j'aime dans mes photos non pas dire au spectateur ce qu'il sait déjà, mais le contredire dans ses attentes..." (Duane Michals)
Episode 2 - 13min : Jean-Marc Bustamante - Les premières photos de l'artiste datent de 1974. Il traite ses tirages comme des tableaux. Dans les années 80 Bustamante prenait des vues de paysages relevant à la fois de la tradition picturale du motif et du réalisme propre aux campagnes photographiques relatives à l'étude de l'aménagement du territoire. Bustamante cherche à traiter l'image en tant que matériau. Celle-ci gagne effectivement en matérialité avec la série des "Lumières" initiée en 1989-1990, de grands tirages sérigraphiques sur plexiglas. Salles de classes, halls, lieux publics désertés sont les sujets de ces photographies où les éléments mobiliers et d'architecture sont très souvent représentés en série. Le cadrage, la construction de l'image place ces oeuvres dans la lignée d'une école européenne de l'objectivité.
Synopsis
Pack 1 : épisodes xx à 2
Episode XX - 13min : Duane Michals - La photographie entre réalité et vérité." ...Les photographes en général pensent que la photo reproduit fidèlement ce qu'ils voient. Que réalité et vérité sont presque synonymes. Je ne crois pas moi en la réalité. c'est pourquoi j'aime dans mes photos non pas dire au spectateur ce qu'il sait déjà, mais le contredire dans ses attentes..." (Duane Michals)
Episode 2 - 13min : Jean-Marc Bustamante - Les premières photos de l'artiste datent de 1974. Il traite ses tirages comme des tableaux. Dans les années 80 Bustamante prenait des vues de paysages relevant à la fois de la tradition picturale du motif et du réalisme propre aux campagnes photographiques relatives à l'étude de l'aménagement du territoire. Bustamante cherche à traiter l'image en tant que matériau. Celle-ci gagne effectivement en matérialité avec la série des "Lumières" initiée en 1989-1990, de grands tirages sérigraphiques sur plexiglas. Salles de classes, halls, lieux publics désertés sont les sujets de ces photographies où les éléments mobiliers et d'architecture sont très souvent représentés en série. Le cadrage, la construction de l'image place ces oeuvres dans la lignée d'une école européenne de l'objectivité.
Synopsis
Pack 2 : épisodes 3 à xx
Episode 3 - 13min : Nobuyoshi Araki - La ville, les femmes, le ciel et les fleurs vus par le photographe japonais Nobuyoshi Araki. Passionné par le cinéma de Dreyer, Bresson, Godard et Ozu, Nobuyoshi Araki débute en 1964, avec une série de photos sur les enfants de Tokyo faite lors du tournage de son propre film. En 1971, il publie à son compte "Sentimental Journey", un roman photographique sur son voyage de noces dans lequel figurent des scènes banales, quotidiennes, vécues avec sa femme, y compris des scènes d'amour. Il revendique alors une forme radicale de photographie subjective où la vérité se nourrit de la confrontation avec les choses intimes de la vie, ce qu'il appelle le "photo-je" par opposition à la photographie documentaire et journalistique qui régnait dans les années 70. En jouant sans cesse à la lisière de la vérité et de la fiction, il produit une énorme quantité d'images, publie une dizaine de recueils par an, organise simultanément plusieurs expositions et manifestations.
Episode XX - 13min : Hiroshi Sugimoto - Après des études d'économie à la Rikkyo Saint-Paul's University de Tokyo, Sugimoto quitte le Japon en 1970 pour étudier la photographie à l'Art Center College of Design de Los Angeles. Sugimoto vit et travaille à New York depuis 1974. La carrière photographique de Sugimoto commence avec la série "Dioramas" (1976-1980, reprise en 1992). Dans le Muséum d'histoire naturelle de New York, il photographie les installations d'animaux sauvages naturalisés devant des paysages peints - les espaces de l'illusion et du simulacre. La série suivante, "Theaters" (1978-1980), traite des intérieurs de théâtres américains des années 1920-1930, reconvertis en salles de cinéma. En situant un écran au centre du cadrage, Sugimoto expose sa pellicule pendant toute la durée de la projection. C'est ainsi que la lumière de l'écran, totalement surexposée dans l'image, éclaire méticuleusement les décors de la salle. Comme les précédentes, la troisième série est réalisée à l'aide d'une chambre 8 x 10 pouces et s'intitule "Seascapes" (1980). Les éléments primordiaux comme la mer, l'air, la lumière et l'horizon correspondent à une recherche obstinée sur le temps et l'état originel de la mémoire humaine.
Synopsis
Pack 3 : épisodes xx à xx
Episode XX - 13min : Andreas Gursky - L'exposition "La photographie à Düsseldorf " retrace l’histoire de l’objectivité photographique allemande des années 70 à nos jours. Les images de Gursky sont des variations sur la distance avant d'être des paysages ou des photographies d'architecture.Etudiant à la Kunstakademie de Düsseldorf entre 1981 et 1987, Gursky y bénéficie de l'enseignement de Bernd et Hilla Becher. Affiliées à la photographie objective, les images de Gursky sont des variations sur la distance avant d'être des paysages ou des photographies d'architecture. Distance, éloignement, vues plongeantes, à l'échelle de ces photos l'homme ne tient qu'une toute petite place. Le plus souvent, il est à peine perceptible dans le cadre, et sa présence s'apparente plutôt à une trace, au sens chimique du mot. Tel un expérimentateur regardant depuis une autre planète, Gursky observe et ajuste les impeccables images d'une post-modernité terrienne.
Episode XX - 13min : Thomas Ruff - Un des chefs de file d'une nouvelle génération allemande. Ruff utilise le médium photographique de manière documentaire et objective, dans des grands formats en couleur. Une série de portraits de jeunes gens, commencée en 1984 et présentée à la Biennale de Venise (''Aperto'', 1984), reprend les codes de la photographie d'identité ; un parti-pris d'anonymat et d'objectivité similaire se retrouve dans la série des ''Maisons'' (1986). Thomas Ruff explore en particulier le besoin d'illusion analogique et le désir d'identification qui nous font rechercher dans une photographie la preuve d'une existence véritable, d'une identité, d'un événement. Ses images placent subtilement le spectateur au coeur des ambiguïtés qui caractérisent l'expérience photographique. Elles renvoient à des objets du monde extérieur, parfois de façon spectaculaire, mais elles nous confrontent aussi à la nécessité de nous interroger sur la place que nous occupons en face d'elles (physiquement et mentalement), sur le sens de ce que nous y cherchons ou de ce que nous y projetons.
Synopsis
Pack 4 : épisodes xx à xx
Episode XX - 13min : Jeff Wall - Un art photographique résolument moderne. Jeff Wall est né au Canada en 1946. Il vit et travaille à Vancouver. Ses photographies séduisent par leur composition exceptionnelle. Jeff Wall utilise des formes historiques et contemporaines pour représenter les réalités sociales de la vie moderne. Son langage pictural s'inspire très largement de la peinture et du cinéma.
Episode XX - 12min : Lewis Baltz - Focus sur la société industrielle et son évolution depuis la fin des années 60. Etudiant au San Francisco Art Institute en 1967, il réalise en 1971, les Tract Houses, des photographies de maisons préfabriquées, qui sont l'objet, la même année, de sa première exposition personnelle à la galerie Leo Castelli de New York. La dépression de la société industrielle, ses résidus, puis la technologie comme instrument du contrôle social constituent des thèmes majeurs de son oeuvre. Au gré de ses démonstrations, Lewis Baltz utilise pour ses images, le principe des supports multiples : tirages en noir et blanc, films couleur sur panneaux lumineux, CD Rom ou bandes vidéos. Seule compte en définitive la variation des formes par lesquelles il rend compte du caractère de nos sociétés modernes, dont l'ordre apparent dissimule le chaos.
Réalisation : Dominique Dubosc
Réalisation : Marie-Dominique Dhelsing
Réalisation : Jean Pierre Krief
Réalisation : Sylvain Roumette
Créateur : William Klein
- Couleur : Couleur
- Langues : Français, Allemand, Anglais
- Date de production : 1993
- Pays de production : France
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